vendredi 5 octobre 2007

Compo sur la Birmanie pour Gergely




Pour commencer - en beauté? - autant inaugurer le premier post avec quelque chose d'intelligent...Même si ça se fait rare c'est derniers temps. Et puisque je me suis retrouvé à faire une double interro aujourd'hui de 16h à 20h20, je retape le résultat de la compo' :



Pour une Birmanie Libre et Prospère




Depuis près de 45 ans, l’ancien Myanmar est aux mains d’une dictature militaire alimentée par de investissements étrangers et/ou le tourisme. Quel avenir pour le pays qui a vu naître un prix Nobel de la paix ? Quel soutien au peuple descendu dans les rues pour réclamer l’égalité ?

Aperçu de la situation


Les années ’80 ont été marquées par une répression intellectuelle qui, si elle avait été violente n’aurait rien eu à envier à celle exercée au Cambodge. De ce fait, seul 27% des enfants terminent leur scolarité, les autres étant obligés de travailler, sans bien souvent recevoir de salaire. La pauvreté du peuple birman bat dans d’ailleurs des records ; ni le tourisme, ni les investissements n’aident, puisque le gouvernement en est le seul bénéficiaire.
C’est dans ces conditions que s’est élevée la voix du Nobel de la paix, appelant à un certain boycott. D’abord assigné à résidence, il est à présent en prison {privé de ses droits}.



Le peuple se lève



Les marches pacifiques par tout temps marquent l’actualité du pays alors que le conflit s’envenime. Si dans un premier temps des bonzes ont pris en otage des personnalités ou incendiés de véhicule en réponse à des représailles, à présent l’armée a reçu l’autorisation du tirer dans la foule. En outre, des cadavres commencent à être découverts dans la boue ou les rivières, certains battus à mort. {Egalement des bonzes}


Les marques de soutien affluent des quatre coins du monde sous la forme de marches jaunes. Cependant c’est aux gouvernements de faire le plus gros du travail, en courant notamment les sources de revenus. La chine est probablement la principale concernée, puisqu’important une grande partie des produits birmans.
C’est donc sur cette dernière que les dirigeants doivent concentrer leurs efforts, peut-être même lui mettre la pression. Le monde bougera-t-il ? Le population tiendra-t-elle ?







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